Sirieix : « Tout peut aller très vite »
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Pantxi Sirieix, milieu de terrain du TFC, reste sur ses gardes malgré la bonne période que traverse son club.
Vous avez inscrit votre premier but de la saison lors du large succès contre Bordeaux (3-0). Tout vous réussit en ce moment…
Cela fait du bien de marquer de temps pour un milieu défensif, qui est plus habitué au boulot de l’ombre. C’est un peu ingrat mais ça me va bien quand même. Toulouse a un gros collectif cette année même si les lauriers reviennent essentiellement à Gignac. Il faut souligner qu’il fait aussi beaucoup d’efforts pour l’équipe et qu’il ne se contente pas de mettre des buts. Il a fait deux matches énormes à Rennes (0-0) et Paris (1-0) sans marquer. C’est l’état d’esprit du TFC cette année.
Est-ce que Toulouse a les moyens de se mêler à la lutte au sommet jusqu’à la fin de la saison ?
Je ne sais pas. Tout peut aller très vite. On est quatrième mais on sait qu’on peut vite glisser en faisant deux mauvais résultats. Les grosses équipes ont un effectif autrement plus important que le nôtre. Mais pour l’instant, on a démontré sur le terrain qu’on pouvait rivaliser, comme contre Bordeaux (3-0). Jusqu’à quand cela va durer ? Le plus longtemps possible j’espère (sourire). Les confrontations directes vont sûrement faire la différence.
Vous n’êtes à quatre points de Lyon et votre calendrier est plutôt favorable…
Il reste encore beaucoup d’équipes en position favorable. Des équipes comme Rennes ou Lille sont derrière mais également en pleine bourre. Il faut attendre les cinq dernières journées pour voir où on en est. Ca ne sert à rien d’annoncer des choses pour se retrouver largués dans un mois. Mais on a notre mot à dire.
Rêvez-vous dela Liguer des Champions ?
Je l’ai déjà joué avec Auxerre (lors de la saison 2002-2003, ndlr) et j’ai envie de revivre ça à Toulouse. Mais il reste encore beaucoup de matches et il ne faut pas s’enflammer.
D’autant que vous aviez vécu une saison dernière difficile après votre élimination au tour préliminaire…
On ne connaissait pasla Coupe d’Europe et tout ce qu’elle engendre, notamment l’intensité du haut niveau. On n’avait pas forcément l’effectif pour et on en avait souffert en fin de saison. Ce serait sûrement différent cette fois.
Cela fait du bien de marquer de temps pour un milieu défensif, qui est plus habitué au boulot de l’ombre. C’est un peu ingrat mais ça me va bien quand même. Toulouse a un gros collectif cette année même si les lauriers reviennent essentiellement à Gignac. Il faut souligner qu’il fait aussi beaucoup d’efforts pour l’équipe et qu’il ne se contente pas de mettre des buts. Il a fait deux matches énormes à Rennes (0-0) et Paris (1-0) sans marquer. C’est l’état d’esprit du TFC cette année.
Est-ce que Toulouse a les moyens de se mêler à la lutte au sommet jusqu’à la fin de la saison ?
Je ne sais pas. Tout peut aller très vite. On est quatrième mais on sait qu’on peut vite glisser en faisant deux mauvais résultats. Les grosses équipes ont un effectif autrement plus important que le nôtre. Mais pour l’instant, on a démontré sur le terrain qu’on pouvait rivaliser, comme contre Bordeaux (3-0). Jusqu’à quand cela va durer ? Le plus longtemps possible j’espère (sourire). Les confrontations directes vont sûrement faire la différence.
Vous n’êtes à quatre points de Lyon et votre calendrier est plutôt favorable…
Il reste encore beaucoup d’équipes en position favorable. Des équipes comme Rennes ou Lille sont derrière mais également en pleine bourre. Il faut attendre les cinq dernières journées pour voir où on en est. Ca ne sert à rien d’annoncer des choses pour se retrouver largués dans un mois. Mais on a notre mot à dire.
Rêvez-vous de
Je l’ai déjà joué avec Auxerre (lors de la saison 2002-2003, ndlr) et j’ai envie de revivre ça à Toulouse. Mais il reste encore beaucoup de matches et il ne faut pas s’enflammer.
D’autant que vous aviez vécu une saison dernière difficile après votre élimination au tour préliminaire…
On ne connaissait pas
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