Parker : « Il faut y croire »
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San Antonio a subi sa deuxième défaite face à New Orleans (102-84). Les Spurs sont désormais dos au mur dans cette demi-finale de la conférence ouest.
Tony, cette série face à la Nouvelle-Orleans est très mal engagée…
Ce n’est pas le début rêvé. On espérait autre chose avant de retourner à San Antonio. Quand tu joues à l’extérieur, tu as pour objectif de gagner au moins un match. Là, nous repartons avec deux grosses défaites. Une nouvelle fois, nous avons craqué en deuxième mi-temps. Le 3e quart-temps nous a été fatal (38-16). On perd le match en douze minutes.
Comment expliquez-vous cette baisse de régime au retour des vestiaires ?
Je ne sais pas, c’est très bizarre. Ce n’est pas normal de lever de pied comme ça. C’était la même chose lors du premier match. On rentre aux vestiaires devant et quand la deuxième mi-temps débute, on explose littéralement. J’ai l’impression qu’on joue au ralenti et que les Hornets sont deux fois plus rapides que nous.
Seriez-vous rattrapés par votre âge (San Antonio a la moyenne d’âge la plus élevée de la NBA) ?
Je ne veux pas rentrer dans ce type de réflexion. Tout ce que je sais, c’est que nous avons trois jours devant nous pour préparer la prochaine rencontre. Nous allons bosser à la vidéo pour trouver des solutions.
Etes-vous surpris par le niveau de jeu des Hornets ?
Non, New Orleans est une très bonne équipe. Il faut arrêter de dire que cette équipe est jeune, qu’elle n’a pas l’habitude de jouer des matchs de play-offs. Il faut leur donner du crédit, ils sont très performants. Stojakovic est le meilleur exemple. Il ne rate pas un shoot, il est chaud comme la braise. New Orleans a énormément de solutions. C’est pour ça qu’il est très difficile de défendre sur Chris Paul. Il peut s’appuyer sur Chandler avec ses passes en lob ou ressortir la balle pour Stojakovic. Le danger vient de partout.
Vous continuez à y croire ou le doute s’est installé ?
J’ai déjà connu cette situation en 2004 face aux Lakers. On domine Los Angeles dans les deux premiers matchs et on perd finalement 4-2. Il faut donc continuer à y croire. On sait que tout est possible, même si ça sera très difficile.
Ce n’est pas le début rêvé. On espérait autre chose avant de retourner à San Antonio. Quand tu joues à l’extérieur, tu as pour objectif de gagner au moins un match. Là, nous repartons avec deux grosses défaites. Une nouvelle fois, nous avons craqué en deuxième mi-temps. Le 3e quart-temps nous a été fatal (38-16). On perd le match en douze minutes.
Comment expliquez-vous cette baisse de régime au retour des vestiaires ?
Je ne sais pas, c’est très bizarre. Ce n’est pas normal de lever de pied comme ça. C’était la même chose lors du premier match. On rentre aux vestiaires devant et quand la deuxième mi-temps débute, on explose littéralement. J’ai l’impression qu’on joue au ralenti et que les Hornets sont deux fois plus rapides que nous.
Seriez-vous rattrapés par votre âge (San Antonio a la moyenne d’âge la plus élevée de la NBA) ?
Je ne veux pas rentrer dans ce type de réflexion. Tout ce que je sais, c’est que nous avons trois jours devant nous pour préparer la prochaine rencontre. Nous allons bosser à la vidéo pour trouver des solutions.
Etes-vous surpris par le niveau de jeu des Hornets ?
Non, New Orleans est une très bonne équipe. Il faut arrêter de dire que cette équipe est jeune, qu’elle n’a pas l’habitude de jouer des matchs de play-offs. Il faut leur donner du crédit, ils sont très performants. Stojakovic est le meilleur exemple. Il ne rate pas un shoot, il est chaud comme la braise. New Orleans a énormément de solutions. C’est pour ça qu’il est très difficile de défendre sur Chris Paul. Il peut s’appuyer sur Chandler avec ses passes en lob ou ressortir la balle pour Stojakovic. Le danger vient de partout.
Vous continuez à y croire ou le doute s’est installé ?
J’ai déjà connu cette situation en 2004 face aux Lakers. On domine Los Angeles dans les deux premiers matchs et on perd finalement 4-2. Il faut donc continuer à y croire. On sait que tout est possible, même si ça sera très difficile.
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