Riolo : « Toujours aussi nuls... »

Retour sur le match de l’Equipe de France en Géorgie (0-0).
Reste la mi-temps. 15 minutes pour que Deschamps médite ça : « Il y a très loin de la velléité à la volonté, de la volonté à la résolution, de la résolution au choix des moyens, du choix des moyens à l'application »… Compte à rebours = 45 minutes. La seconde période propose le même néant de jeu. Pire, la Géorgie se crée carrément une occasion de dingue en frappant le poteau. Le danger français vient du désordre, d’occasions obtenues à l’arrache. Deschamps sort Benzema. J’ai même plus envie de me moquer de lui tant il a l’air dépité. Ribéry, le meilleur joueur d’Europe, n’y arrive pas non plus. Un joueur sans collectif… on connaît l’histoire. Le temps passe. La France va vraiment échouer en Géorgie ? Deschamps attend les dernières minutes pour enfin enlever un 6. Nasri entre et c’est plus technique. Pourquoi avoir autant attendu ? Compte à rebours = 5 minutes. Les Bleus affichent enfin un visage déterminé. Le plus fou c’est de se dire qu’après tout, but ou pas, ça ne changera pas grand-chose. Les Bleus devront passer par le barrage. Dans le temps additionnel, les Bleus font passer le gardien Géorgien pour Ochoa au Parc des Princes. La France n’a pas gagné. Elle ira en barrage. Sans confiance, le rouge au front. En traînant toujours cette incapacité à ressembler à une équipe.
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