Luis a un plan
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Spécialiste des missions sauvetage, Luis Fernandez sait déjà précisément quoi mettre en place pour relancer le Stade de Reims, avec lequel il est sur le point de s’engager.
Les négociations avec les dirigeants rémois
Ce n’est pas la première fois que Luis Fernandez est en contact avec le Stade de Reims. A cinq matchs de la fin de la saison 2004/2005, le club champenois avait déjà pensé à lui pour succéder à Ladislas Lozano, démissionnaire. Mais l’ex-Parisien avait décliné l’offre pour des raisons familiales. Cette fois-ci, rien ne semble s’opposer à un accord rapide. « Il n’y a encore rien d’officiel, ménage pourtant Fernandez. J’ai rencontré Jean-Pierre Caillot, le président du club. On avance tranquillement. Il faut trouver une formule qui soit compatible avec mon émission l’après-midi sur RMC. Dans deux jours, on saura. »
La situation du Stade de Reims
Relégable depuis la 3e journée, Reims est même devenu la nouvelle lanterne rouge dela L 2 le week-end dernier. Avec seulement deux victoires au compteur, les Champenois comptent déjà huit points de retard sur les premiers non-relégables. Mais Fernandez a l’habitude de ce genre de mission sauvetage. « J’ai déjà connu ce genre de situation critique à l’Espanyol Barcelone (2003) et au Bétis Seville (2006), rappelle-t-il. Il n’y a pas de temps à perdre. Il faut vite trouver des solutions, même si je préfère commencer difficilement et bien terminer.» Et à la fin, le club est sauvé. Fernandez n’a jusqu’à présent jamais connu la relégation. Le discours
Le mercato d’hiver
S’il n’a pas encore signé officiellement, Fernandez a sans doute déjà quelques noms en tête pour renforcer l’effectif rémois. Le mercato débute dans une semaine. « Il faut identifier les secteurs à besoins, explique l’ex du PSG. Reims a la plus mauvaise défense de L2. Il va falloir trouver de nouveaux éléments ou changer le système. Il y a sûrement aussi des joueurs dans le groupe qu’il faut relancer. On va travailler sur le mercato en se disant qu’on a droit de faire un minimum d’erreurs, sinon c’est mort. » C’est clair.
Ce n’est pas la première fois que Luis Fernandez est en contact avec le Stade de Reims. A cinq matchs de la fin de la saison 2004/2005, le club champenois avait déjà pensé à lui pour succéder à Ladislas Lozano, démissionnaire. Mais l’ex-Parisien avait décliné l’offre pour des raisons familiales. Cette fois-ci, rien ne semble s’opposer à un accord rapide. « Il n’y a encore rien d’officiel, ménage pourtant Fernandez. J’ai rencontré Jean-Pierre Caillot, le président du club. On avance tranquillement. Il faut trouver une formule qui soit compatible avec mon émission l’après-midi sur RMC. Dans deux jours, on saura. »
La situation du Stade de Reims
Relégable depuis la 3e journée, Reims est même devenu la nouvelle lanterne rouge de
S’il n’a pas encore signé officiellement, Fernandez a sans doute déjà quelques noms en tête pour renforcer l’effectif rémois. Le mercato débute dans une semaine. « Il faut identifier les secteurs à besoins, explique l’ex du PSG. Reims a la plus mauvaise défense de L2. Il va falloir trouver de nouveaux éléments ou changer le système. Il y a sûrement aussi des joueurs dans le groupe qu’il faut relancer. On va travailler sur le mercato en se disant qu’on a droit de faire un minimum d’erreurs, sinon c’est mort. » C’est clair.
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