OM: Rami prend la défense d'Ajroudi

Sur Instagram, Adil Rami a donné son avis sur Mohamed Ayachi Ajroudi, candidat au rachat de l'OM. "Ce sont des gens bien", a confié l'ancien défenseur marseillais au sujet de l’homme d’affaires franco-tunisien et son fils.

S’il a quitté le club à l’été 2019, Adil Rami continue de suivre de près l’actualité de l’OM. En story Instagram, il s’est confié ce mercredi au sujet de Mohamed Ayachi Ajroudi, candidat au rachat du club phocéen. Sans se prononcer sur les éventuelles négociations en cours ou la faisabilité du projet, le champion du monde a dit tout le bien qu’il pensait de l’homme d’affaires franco-tunisien.

"Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai eu la chance de rencontrer M. Ajroudi. Je pars en vacances avec son fiston. Je peux vous dire que ce sont des gens bien, des hommes, ça change. Mais après je n’ai pas suivi", a glissé ce mercredi le défenseur central de 34 ans, actuellement sans club.

Ajroudi se veut confiant

Dans les colonnes de L’Equipe, Ajroudi a affirmé ce mercredi qu’il était toujours confiant concernant son projet de rachat de l’OM. "Il faut laisser du temps au temps. Il y a toujours un acheteur et un vendeur. Je laisse les banquiers faire. C’est tout. C’est un plaisir de faire des affaires dans le sport. On ne va obliger personne à se stresser ou à faire autrement", a-t-il souligné. Il s’est entouré pour ce projet de Mourad Boudjellal, ancien président du Rugby Club Toulonnais, qui sera choisi pour présider l'OM en cas de rachat.

"Le but, c’est d’abord de créer des richesses et d’investir dans l’OM. Le projet aujourd’hui, c’est assez simple. L’OM, c’est un club qui d’après nos informations va avoisiner les 130 millions (d'euros) de pertes. C’est une somme qui fait peur, quand même. Notre position, elle est simple: on est là. On dit que l’OM n’est pas à vendre, moi ce n’est pas le sentiment que j’ai", a indiqué Boudjellal vendredi dans un entretien accordé à RMC Sport. Du côté de l’OM, l’actuel propriétaire Frank McCourt a affirmé lors de sa récente audition devant la DNCG qu’il n’avait jamais été et qu’il n’était pas vendeur.