Pelé découvre l’Europe
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Le gardien toulousain effectue ses grands débuts sur la scène continentale, ce soir, face au Partizan de Belgrade.
« Avant je regardais ces matches à la télévision. Là je vais être sur le terrain pour la première fois de ma carrière. » Yohann Pelé ne boude pas son plaisir. A 26 ans, le gardien toulousain s’apprête à découvrir les parfums enivrants de la Coupe d’Europe. Qualifié pour la phase de poules de l’Europa Ligue, le TFC se déplace ce soir en Serbie pour y défier le Partizan Belgrade. « J’espère que ça va bien se passer. On va découvrir un autre football. Même si on a vu quelques vidéos, on ne connaît pas trop cette équipe. On part un peu dans l’inconnu. »
Alain Casanova, le coach toulousain, a tout de même mis en garde ses hommes : les champions de Serbie sont à prendre au sérieux. « D’après ce qu’il nous a dit, Ils ont de bonnes individualités. Ils ont aussi du gabarit donc il faudra se méfier, rapporte Pelé. On sait également qu’il y aura une grosse ambiance avec un public assez chaud. » Un contexte électrique qui ne semble pas l’effrayer. Au contraire. « Moi j’aime bien quand il y a du bruit. C’est plus intéressant que de jouer devant un stade vide. »
« L’Europe, c’est une belle vitrine »
Blessé à la main droite lors d’un match de préparation, l’ancien Manceau a effectué ses grands débuts avec le TFC ce week-end lors d’un nul à Nancy (0-0). Désormais, celui qui a longtemps été considéré comme le meilleur gardien de sa génération espère briller à l’échelle continentale. « L’Europe c’est une belle vitrine. On a plus de chance d’être remarqué. Ça apporte aussi beaucoup d’expérience », salive-t-il. Une « belle vitrine » qui l’a convaincu de rejoindre Toulouse. « C’est sûr que ça a compté dans mon choix », admet-il. Convoqué à plusieurs reprises par Raymond Domenech (sans jamais entrer en jeu), il n’a plus été retenu en équipe de France depuis un an. Un beau parcours européen l’aiderait certainement à se rappeler aux bons souvenirs du sélectionneur.
Alain Casanova, le coach toulousain, a tout de même mis en garde ses hommes : les champions de Serbie sont à prendre au sérieux. « D’après ce qu’il nous a dit, Ils ont de bonnes individualités. Ils ont aussi du gabarit donc il faudra se méfier, rapporte Pelé. On sait également qu’il y aura une grosse ambiance avec un public assez chaud. » Un contexte électrique qui ne semble pas l’effrayer. Au contraire. « Moi j’aime bien quand il y a du bruit. C’est plus intéressant que de jouer devant un stade vide. »
« L’Europe, c’est une belle vitrine »
Blessé à la main droite lors d’un match de préparation, l’ancien Manceau a effectué ses grands débuts avec le TFC ce week-end lors d’un nul à Nancy (0-0). Désormais, celui qui a longtemps été considéré comme le meilleur gardien de sa génération espère briller à l’échelle continentale. « L’Europe c’est une belle vitrine. On a plus de chance d’être remarqué. Ça apporte aussi beaucoup d’expérience », salive-t-il. Une « belle vitrine » qui l’a convaincu de rejoindre Toulouse. « C’est sûr que ça a compté dans mon choix », admet-il. Convoqué à plusieurs reprises par Raymond Domenech (sans jamais entrer en jeu), il n’a plus été retenu en équipe de France depuis un an. Un beau parcours européen l’aiderait certainement à se rappeler aux bons souvenirs du sélectionneur.
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