Dominici : « On était fragile depuis un moment »
Mis à jour le

L’ailier emblématique du Stade Français, Christophe Dominici, reconnaît sans détour les difficultés actuelles rencontrées par son club.
Christophe Dominici, la venue de Castres qui se profile… double enjeu… pour vous, pour vous retrouver après deux mauvais matches à l’extérieur et puis gare tout de même cette formation qui vient avec les dents longues…
Oui, de toute façon… on nous voyait déjà en demi-finale. Mais on savait, par expérience, qu’on avait deux déplacements compliqués, notamment avec pas mal de blessés, un à Brive et l’autre à Auch avec des conditions climatiques difficiles. Et maintenant, il y a Castres qui joue une place en demi-finale, qui vise aussi une place européenne. A nous de nous ressaisir après deux contre-performances à l’extérieur.
On n’est pas encore à se dire les choses, très franchement, à aller boire un coup dans un café à Aurillac en ce moment entre vous ?
Non, mais ça va très vite. La victoire à quatre, bonifiée à cinq points, ça va extrêmement vite. Aujourd’hui, on a neuf points d’avance je crois. Essayons de les conserver déjà. On va essayer de distancer Castres. On reçoit le CAB et Biarritz, deux adversaires directs, avec un premier affrontement ce samedi et l’autre le samedi suivant. On a notre destin entre les mains. On sait qu’on est un peu fébrile et fragile en ce moment. On sait que Castres est devenu une équipe redoutable, elle l’a démontrée, elle a gagné à Clermont, elle a fait des très bons matches, elle incarne le très bon et le moyen. On espère la mettre en situation d’échec samedi à Jean-Bouin.
Le fait que Fabien Galthié ait annoncé son départ à la fin de la saison, que son successeur ne soit pas connu, qu’il y ait toujours un flou autour de Juan Martin Hernandez, est-ce qu’on ne va pas dire que les rubans flottent un peu en ce moment au Stade Français ?
Non, pas du tout, je crois que les choses sont réglées pour tout le monde. Le nouvel entraîneur sera officialisé bientôt. Non, avant Fabien, on était fragile depuis un certain temps. On a enchaîné sept victoires consécutives dans la douleur et dans la difficulté. Je crois qu’on a été rappelé à l’ordre par ces deux échecs. Je ne crois pas que ce soit l’annonce de l’arrêt de Fabien qui fasse qu’on soit dans cette situation aujourd’hui. On a perdu deux matches, on est dans une situation d’échec, on va voir comment le groupe va réagir. Pour Juan Martin, ça va se régler aussi incessamment sous peu. Le cas du nouvel entraîneur également. On est à un mois et demi de la fin de saison, il nous reste cinq matches si on va au bout. A nous de rester concentrés, d’être des compétiteurs, de façon à soulever de nouveau le bouclier de Brennus.
Oui, de toute façon… on nous voyait déjà en demi-finale. Mais on savait, par expérience, qu’on avait deux déplacements compliqués, notamment avec pas mal de blessés, un à Brive et l’autre à Auch avec des conditions climatiques difficiles. Et maintenant, il y a Castres qui joue une place en demi-finale, qui vise aussi une place européenne. A nous de nous ressaisir après deux contre-performances à l’extérieur.
On n’est pas encore à se dire les choses, très franchement, à aller boire un coup dans un café à Aurillac en ce moment entre vous ?
Non, mais ça va très vite. La victoire à quatre, bonifiée à cinq points, ça va extrêmement vite. Aujourd’hui, on a neuf points d’avance je crois. Essayons de les conserver déjà. On va essayer de distancer Castres. On reçoit le CAB et Biarritz, deux adversaires directs, avec un premier affrontement ce samedi et l’autre le samedi suivant. On a notre destin entre les mains. On sait qu’on est un peu fébrile et fragile en ce moment. On sait que Castres est devenu une équipe redoutable, elle l’a démontrée, elle a gagné à Clermont, elle a fait des très bons matches, elle incarne le très bon et le moyen. On espère la mettre en situation d’échec samedi à Jean-Bouin.
Le fait que Fabien Galthié ait annoncé son départ à la fin de la saison, que son successeur ne soit pas connu, qu’il y ait toujours un flou autour de Juan Martin Hernandez, est-ce qu’on ne va pas dire que les rubans flottent un peu en ce moment au Stade Français ?
Non, pas du tout, je crois que les choses sont réglées pour tout le monde. Le nouvel entraîneur sera officialisé bientôt. Non, avant Fabien, on était fragile depuis un certain temps. On a enchaîné sept victoires consécutives dans la douleur et dans la difficulté. Je crois qu’on a été rappelé à l’ordre par ces deux échecs. Je ne crois pas que ce soit l’annonce de l’arrêt de Fabien qui fasse qu’on soit dans cette situation aujourd’hui. On a perdu deux matches, on est dans une situation d’échec, on va voir comment le groupe va réagir. Pour Juan Martin, ça va se régler aussi incessamment sous peu. Le cas du nouvel entraîneur également. On est à un mois et demi de la fin de saison, il nous reste cinq matches si on va au bout. A nous de rester concentrés, d’être des compétiteurs, de façon à soulever de nouveau le bouclier de Brennus.
Votre opinion