Les Bleus en mode détente

Pour leur première après-midi complètement libre, joueurs et staff se sont offert un peu de répit après le long voyage vers la Nouvelle-Zélande et les premières séances d'entraînement. Un quartier libre parfaitement mis à profit par tout le monde.
La météo a finalement décidé d’être un peu plus clémente ce dimanche à Auckland. Et ça tombe bien. Rien de tel qu’un beau soleil pour pleinement profiter d’une belle après-midi de libre pour l’équipe de France. Mais avant le réconfort, l’effort. Comme tous les jours depuis qu’ils ont posé le pied en Nouvelle-Zélande, les Bleus ont eu droit à une séance d’entraînement dans la matinée. Pas de musculation, mais du « conditionning », des exercices par ateliers physiques à enchaîner à un rythme élevé. L’entraînement s’est terminé par une séance de rugby à 7.
Avant de retourner à leur hôtel, et de prendre le déjeuner en commun, les Bleus ont effectué la photo officielle à leur stade d’entraînement. Initialement prévues, les activités de tirs sportifs avec des policiers d’Auckland, de pêche en mer et de golf ont été repoussées à un jour de repos ultérieur. Le groupe de 30 joueurs a ainsi pu bénéficier de temps libre à utiliser comme il le voulait. Certains sont allés manger des sushis à Auckland, boire un petit café et se promener dans les rues, alors que d’autres, habillés en tenue de ville (Guirado, Mas et Ducalcon notamment ) se sont promenés dans Takapuna.
Du paddle surf pour le staff
Si les joueurs avaient décidé de s’octroyer un peu de repos, une partie du staff technique s’est essayée au paddle surf, une activité pratiquée en mer, debout sur une planche de surf avec une pagaie. Les Jean-Luc Arnaud (préparateur physique), Jean-Philippe Hager (médecin), Michel Riff (ostéopathe), Jean-Michel Grand (kiné) et Emile NTamack ont même effectué une course chronométrée sous les ordres d’un moniteur du Takapuna boating club remportée par Riff devant Grand et NTamack. Retour des choses (plus) sérieuses lundi avec une séance de musculation et avant que le président de la Fédération Pierre Camou, contraint à retarder son voyage pour régler le cas de la succession de Lièvremont, ne rejoigne le groupe en Nouvelle-Zélande.
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