Faire mieux qu’à Tokyo
De tous les sélectionnés, c’est le seul (avec Gaël Monfils) à avoir déjà connu une expérience olympique. En 2021, à Tokyo, il avait écarté Stefanos Tsitsipas en huitième de finale avant de se heurter à Karen Khachanov, futur finaliste. Au Japon, il s’était lié d’amitié avec Jérémy Chardy, devenu son coach et ami. Auteur d’un superbe début de saison avec deux titres à Marseille et Dubaï, le gaucher lorrain adore porter la tunique bleue. Ses statistiques en coupe Davis en attestent.
Huitième de finaliste à Wimbledon en 2019 (NDLR : stoppé par Novak Djokovic), il affectionne plutôt les surfaces rapides. Il faut dire qu’il a été « élevé » sur moquette indoor pour braver les hivers rigoureux. Mais son récent quart de finale à Monte-Carlo a montré qu’il pouvait s’exprimer sur terre battue. Même s’il n’a jamais fait d’étincelles aux Internationaux de France, le format court de la compétition peut lui convenir. La FFT l’alignera également en double au côté d’Arthur Fils.
Médailles attendues




( *Médailles espérées selon la société de pronostique Gracenote )
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