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La pépite de la lutte française n’a pas encore son portrait à l’Insep. Récompense réservée aux champions du monde et aux médaillés olympiques. Larroque a été vice-championne du monde, plusieurs fois médaillée mondiale même, championne d’Europe, mais le sommet résiste toujours à sa force. Encore cadette, elle avait échoué d’un cheveu à se qualifier pour les JO 2016. A Tokyo, diminuée, elle n’avait pas pu donner sa pleine mesure, sortie d’entrée. Mongole, Japonaise, les Asiatiques tiennent la catégorie mais c’est la Turque qui a remporté le dernier titre mondial avant les JO. « Koumby » n’oubliera pas qu’elle n’a jamais perdu contre cette lutteuse. Leader de la lutte française, elle se débat avec un corps qui grince depuis plusieurs années. Si ses articulations et notamment son genou droit la laissent tranquille pendant la préparation et la compétition, le portrait ne devrait pas être loin. La lutte féminine française attend un podium depuis Lise Legrand et Anna Gomis en 2004 à Athènes.
Médailles attendues




( *Médailles espérées selon la société de pronostique Gracenote )
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