after-afrique: les archives de Juin 2025

Avec Gilbert Brisbois et Hamza Rahmani, notre expert du foot africain, on fait le tour de l’actualité brûlante du continent. Première partie : direction Casablanca. Le Wydad traverse une période de transition. Le géant marocain a-t-il ses chances pour le mondial des clubs ? Le président du club Hicham Ait-Menna est notre invité exceptionnel, aux côtés du journaliste spécialiste du football marocain pour l’After, Nasredine Nasri. Seconde partie : cap sur Nottingham, théâtre d’un exploit XXL ! Le Sénégal s’est imposé 3-1 face à l’Angleterre en match amical. Une première historique pour une sélection africaine ! Et une série de 22 matchs sans défaites pour les Lions de la Téranga, meilleure série mondiale du moment. Avec le journaliste Aliou Goloko, on revient sur ce choc symbolique, le plan de Pape Thiaw, et ce que cette victoire change dans le regard porté sur le football africain. After Afrique, c’est le podcast 100 % foot africain, chaque semaine sur RMC.

Nicolas Jamain vous donne rendez-vous pour un épisode exceptionnel d’After Afrique, avec Hamza Rahmani et Lassana Camara, pour décortiquer la participation des clubs africains à la Coupe du Monde des Clubs 2025. Al Ahly, Espérance de Tunis, Mamelodi Sundowns et Wydad Casablanca représenteront le continent dans ce tournoi élargi et ultra-compétitif, mais une question centrale traverse le débat : les clubs africains ont-ils réellement les armes pour rivaliser avec les géants d’Europe, d’Amérique du Sud ou d’Asie ? À travers des analyses tactiques, des comparaisons structurelles et des avis tranchés sur les dynamiques actuelles des clubs, l’équipe débat : du favori africain à suivre, des limites structurelles qui freinent encore les ambitions continentales, et des profils de joueurs capables de se révéler sur la scène mondiale. En fin d’émission, Alexandre Laffite, 28 ans, entraîneur du Stade d’Abidjan sacré champion de Côte d’Ivoire il y a quelques jours, est notre invité. Il partage son regard d’entraîneur de terrain sur le niveau actuel du football africain, les progrès visibles, mais aussi les obstacles persistants dans la professionnalisation des clubs du continent.