Euro 2016 : Moldovan ne veut pas voir Payet sur le terrain

Invité lundi de Luis Attaque sur RMC, Viorel Moldovan, adjoint du sélectionneur Anghel Iodanescu s’est montré très élogieux à l’égard de l’équipe de France, premier adversaire de la Roumanie à l’Euro 2016. Il a notamment été impressionné par Dimitri Payet, qu’il espère voir sur le banc vendredi au Stade de France.

Viorel Moldovan, adjoint du sélectionneur Anghel Iodanescu, était l’œil de la Roumanie vendredi à Metz à l’occasion de la victoire de l’équipe de France contre l’Ecosse (3-0). Avant le match face aux Bleus vendredi pour l’ouverture de l’Euro 2016, l’ancien attaquant du FC Nantes, futur entraîneur de l’AJ Auxerre (Ligue 2), a pu constater que l’équipe de Didier Deschamps était en forme.

« L’animation offensive est vraiment impressionnante, a-t-il expliqué lundi dans l’émission Luis Attaque sur RMC. La circulation du ballon est très bonne, il y a beaucoup de mouvements et des joueurs qui peuvent faire basculer un match à tout moment. Je pense à Coman, Payet, Martial, Griezmann. Giroud est en forme, il marque tout le temps depuis quelques matches. Au milieu et en attaque, la France, c’est solide. »

A lire aussi>> Euro 2016 : Coman absent de l’entraînement

Moldovan : « Payet a plus de poids que Martial »

Alors que l’incertitude demeure quant à savoir qui d’Anthony Martial et Dimitri Payet sera titulaire, Viorel Moldovan avoue clairement sa préférence. « Je ne suis pas Didier Deschamps mais j’espère qu’il ne décidera pas de commencer avec Payet, avoue l’ancien attaquant roumain. Contre l’Ecosse, j’aimais beaucoup l’équipe avec Payet. Martial revient de blessure. C’est un joueur extraordinaire avec de grandes qualités. Mais dans l’animation offensive de l’équipe de France, je pense que Payet a plus de poids. C’est un joueur très intéressant. Il apporte beaucoup à l’équipe de France. Il est capable de casser le rythme, de faire la dernière passe, de marquer sur coup franc à n’importe quel moment. » Autant de qualités qui n’ont pas échappé à Didier Deschamps.

A lire aussi>> Euro 2016 : à Saint-Etienne, la grève des éboueurs inquiète