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Chamakh : « J’attends un signe de Wenger »

L'attaquant marocain a décliné une belle offre de prolongation à Bordeaux et souhaite toujours jouer en Angleterre la saison prochaine.

L'attaquant marocain a décliné une belle offre de prolongation à Bordeaux et souhaite toujours jouer en Angleterre la saison prochaine. - -

Dans la foulée de Bordeaux-Marseille (2-1), Marouane Chamakh a réaffirmé son souhait de rejoindre l’Angleterre. Sunderland l’attend mais le Marocain rêve toujours d’Arsenal.

Etait-ce difficile psychologiquement de jouer ce match amical contre Marseille alors que vous avez émis le souhait de quitter Bordeaux ?
Non, au contraitre. C’était sympa et c’est toujours un bonheur de jouer contre l’OM, même si je dois clarifier ma situation le plus vite possible.

Allez-vous partir au Canada pour disputer le Trophée des Champions ?
Je ne sais pas encore. Normalement oui, mais j’espère que ma direction prendre en compte mon souhait.

Vous confirmez que vous avez décliné une belle offre de prolongation…
Les dirigeants m’ont fait une offre très intéressante de trois ans. Bordeaux me propose ce que je pourrais toucher en Angleterre. Ce n’est donc pas une question d’oseille. C’est un challenge que je cherche à relever, même si c’est dans un club moins huppé que le Big Four.

Arsenal est votre priorité mais Sunderland semble vraiment chaud pour vous recruter…
Je suis effectivement dans le collimateur d’Arsenal mais ils veulent que ce soit réglé le plus vite possible. Personnellement, je peux attendre jusqu’au 31 août (date de clôture du mercato) pour aller un très grand club. Mais je prends aussi ce que j’ai. Sunderland, c’est est plus concret. C’est un club où je pourrais m’adapter rapidement avec un super manager (Steve Bruce).

Avez-vous eu Arsène Wenger au téléphone ?
Non pas du tout. J’attends un signe de sa part.

Qu’avez-vous pensé des propos de Jean-Michel, qui se dit prêt à vous accueillir à Lyon ?
Ca fait plaisir mais je ne veux partir Bordeaux pour un autre club français. Je ne peux pas m’épanouir ailleurs en France. Pour moi, c’est l’Angleterre ou rien.

La rédaction-Mercato Show