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Paris pense à Emana

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Le PSG a déjà franchi une première étape dans sa campagne de recrutement en recrutant deux des priorités d’Antoine Kombouaré, Grégory Coupet et Mevlut Erding. Le club de la capitale n’a pas fini son marché pour autant.

Selon nos informations, les dirigeants parisiens travaillent actuellement sur le profil d’Achille Emana. Le puissant milieu camerounais a réalisé une saison pleine sous les couleurs du Bétis Séville pour sa première année en Liga. Mais la relégation du club andalou l’oblige au départ. Alain Roche est alerté de cette situation. Il a toujours été fan d’Achille Emana. Il avait déjà tenté de le faire venir lorsqu’Emana était à Toulouse. Le chef du recrutement parisien s’est renseigné sur les conditions du transfert. Il se tient au courant de l’évolution du dossier. En l’état, le PSG n’a pas les moyens financiers pour s’offrir Emana, pour qui le Bétis exige officiellement dix millions d’euros. Mais si Paris venait à vendre Stéphane Sessegnon en Angleterre, il pourrait en être différemment. En attendant, le FC Valence a déjà manifesté son intérêt. Le dossier Patrick Vieira est toujours traité en marge. Le milieu tricolore aurait fait part à ses dirigeants de son optimisme quant à l’issue des discussions avec Paris.

Au poste d’arrière droit, si le PSG s’est un temps renseigné sur Yohan Demont, il reste concentré sur les discussions avec Lorient pour Christophe Jallet. La transaction pourrait se finaliser d’ici à la fin de la semaine, entre 2 et 3 millions d’euros. Le dossier du milieu offensif gauche n’est pas réglé non plus. Jérôme Rothen doit rencontrer ses dirigeants en cette fin de semaine, pour fixer les conditions de son départ. Birmingham City a approché Paris à son sujet il y a une dizaine de jours. Mais le milieu parisien n’a pas porté d’intérêt au nouveau promu en Premier League. En cas (très probable) de départ de Rothen, le club de la capitale étudie bon nombre de profils (Obraniak par exemple), sachant que les premières solutions envisagées semblent bloquées (Drenthe) ou impossibles (Bastos).

La rédaction