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Pokémon Go, la vraie star du mercato

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- - Canyeros Llagostera

Le jeu en réalité augmentée, Pokémon Go, a investi les smartphones dans le monde entier. Forcément, la sphère football s’y est mise également. Entre recrue inattendue, célébration originale et capture dans les stades, les Pokémon sont les grands animateurs de ce mercato.

Pokémon Go n’est toujours pas disponible en France. Enfin, officiellement. Car les clubs n’ont pas manqué de tester le jeu en réalité augmentée. La semaine dernière, l’Olympique Lyonnais annonçait sa première recrue virtuelle.

Un Pokémon signé en Espagne

Le club rhodanien a exploré son stade afin d’y trouver quelques créatures. Et, mercredi dernier, un Mimitoss foulant la pelouse du Parc OL apparaît sur Twitter. La nouvelle enceinte rhodanienne a l’air prête à accompagner la folie de ce début d’été.

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L’annonce du Mimitoss lyonnais s’est quasiment faite dans l’anonymat. Rien à voir avec l’accueil réservé à un renfort en D3 espagnole. Le club catalan de Llagostera a officialisé la signature de… Llagoskachu.

La recrue a été présentée ce lundi comme « un joueur électrique », « pas effrayé par le corps-à-corps. » L’équipe de D3 a ensuite publié une interview de Llagoskachu sur son site. Pas très bavarde, la créature s’est contentée de répondre : « Pika » ou « Chu. »

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La célébration Pokémon et un précurseur

Si le Mimitoss de l’OL et Llagoskachu attendront avant de chausser les crampons, Pokémon Go a déjà investi les pelouses. En première division finlandaise, ce dimanche, les joueurs de Rovaniemi ont célébré leur deuxième but face au FC Lahti de manière inédite.

En petit groupe, ils ont mimé la capture d’un Pokémon. Comme s’ils avaient leur smartphone, ils ont glissé leur doigt vers l’avant pour lancer une Pokéball. Une scène rencontrée à de nombreuses reprises ces derniers jours dans les rues.

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Un certain joueur français avait saisi le phénomène avant tout le monde. En février dernier, Paul Pogba arborait déjà une Pokéball sur le crâne. Cinq mois plus tard, comme Llagoskachu et Mimitoss, le Français affole le marché des transferts.

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F.P.