Pourquoi Nasri a choisi City

Selon nos informations, l’international français s’est mis d’accord avec Manchester City sur les conditions d’un prochain contrat en dépit d’une nouvelle relance de Manchester United. Reste à savoir s’il quittera Arsenal avant la fin août ou libre l’année prochaine.

Samir Nasri à Manchester City, ce n’est qu’une question de jours ou au pire de quelques mois. En effet, le joueur, qui ne souhaite pas prolonger à Arsenal où il lui reste une année de contrat, a, selon nos informations, fermé définitivement la porte à un transfert vers Manchester United. Sir Alex Ferguson était sur le point d’ouvrir des discussions avec Arsenal sur les bases d’un transfert de 20 millions d’euros. Manchester avait également ouvert des négociations avec l’entourage du joueur sur les bases d’un contrat de 4 millions d’euros net par an. Mais le joueur a fait savoir il y a quelques jours qu’il avait donné son accord à Manchester City.

City offre 2M€ annuel de plus que United

Le club mancunien lui propose en effet deux millions d’euros de plus à l’année, soit six millions nets annuels ! Ce qui ferait du jeune meneur de jeu français l’un des joueurs tricolores les mieux payés en Europe avec Ribéry et Benzema notamment. Nasri attend désormais un éventuel feu vert des Gunners pour s’engager avant la fin du marché des transferts à City. Si tel n’était pas le cas, il attendrait quelques mois pour signer en début d’année prochaine avec les Citizens en tant que joueur libre.

La balle est donc dans le camp d’Arsène Wenger, qui a répété ces dernières semaines son envie de ne pas vendre Nasri cet été. Ce qui est sûr, c’est que l’Alsacien ne se séparera pas de son meneur français et de Cesc Fabregas le même été, quitte à voir le Français aller au terme de son contrat. Arsenal a bien essayé au cours de ces dernières semaines de le prolonger. Mais les deux parties sont très éloignées financièrement. Chez les Gunners, l’international français perçoit actuellement environ 2M€ net. Le feuilleton n’est donc pas terminé même si l’issue est, sauf improbable retournement de situation, acquise.