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Button : « J’aurais voulu que toute l’équipe soit sur le podium »

Le Britannique Jenson Button, vainqueur en Turquie, a tenu a remercier son équipe pour le travail accompli sur sa monoplace.

Le Britannique Jenson Button, vainqueur en Turquie, a tenu a remercier son équipe pour le travail accompli sur sa monoplace. - -

Très heureux après sa victoire dans le Grand Prix de Turquie (sa sixième en sept courses cette saison), Jenson Button a tenu à mettre en avant le travail de son équipe pour expliquer les bonnes performances de sa voiture.

Jenson Button, vous avez utilisé des mots forts à la radio pour décrire le comportement de la voiture...
Oui. Merci à toute l’équipe car la voiture a été la meilleure depuis le début de saison. C’était intense. Je veux vraiment remercier l’équipe. Tout s’améliore. Tout est de plus en plus efficace et parfait. Je ne sais pas si le circuit nous correspond vraiment mais la voiture a été fantastique. J’aurais voulu que toute l’équipe soit sur le podium avec nous pour apprécier cet instant fabuleux.

Cela doit être un moment incroyable pour vous d’avoir résisté à Sebastian Vettel et de gagner ici…
J’étais content du départ et de pouvoir virer en deuxième position. Sebastian est revenu vers l’intérieur et a fermé la piste. Je suis resté derrière lui pendant la moitié du tour. Quand il fait une petite faute dans le virage 9-10, j’ai saisi l’opportunité de le dépasser. Cela aurait été difficile de le faire plus tard.

Vous mettiez de la pression également sur Sebastian après le premier ravitaillement au stand...
Il était plus léger, je savais qu’il allait s’arrêter avant. Il était dans mes roues et me mettait la pression. J’étais serein, je contrôlais la situation. J’ai tenté de rester aussi précis et constant que possible, de ne pas paniquer et commettre des erreurs. J’ai travaillé ma motricité, la sortie de mes virages de façon à avoir une bonne vitesse dans les lignes droites qui suivaient. Je pense que les Red Bull étaient sur notre rythme dans les courses précédentes mais ici nous avons repris l’avantage.

La rédaction - Guillaume Navarro