France-Lituanie : portraits de Bleus, par Jacques Monclar

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Joffrey Lauvergne (21 ans)
« Il est intense. Il est vaillant. Il est capable de donner des minutes sur les grands Lituaniens. Il a un gros cœur. »

Nicolas Batum (24 ans)
« On aura besoin de lui des deux côtés du terrain. Il est monumental en défense et dans le doute en attaque. Mais on a besoin de lui. »

Antoine Diot (24 ans)
« Une surprise qui n’en est pas une pour les gens qui le connaissent. Il était dominant en jeunes. Il a tout pour le devenir au meilleur niveau européen. »

Johan Petro (27 ans)
« C’est un corps. Il est dans l’esprit de l’équipe. Il découvre un peu l’Europe mais on aura besoin de son corps, de son poids, de sa taille. »

Charles Kahudi (27 ans)
« Un homme de mission. Si un Lituanien prend feu, Vincent (Collet) peut l’envoyer à tout moment. »

Tony Parker (31 ans)
« Un génie, un leader, un fédérateur. Tony Parker quoi ! »

Thomas Heurtel (24 ans)
« Un garçon plein de talent. Si Vincent a besoin d’un relais pour l’attaque, pour débloquer une situation, Thomas répondra présent. J’en suis sûr. »

Florent Pietrus (32 ans)
« Un guerrier lumineux. Un rebondeur hors pair. Le docteur ès défense. Et le cœur bleu. »

Nando De Colo (26 ans)
« Il est stabilisateur. Il peut apporter de l’adresse au large, faire tomber la pluie. »

Boris Diaw (31 ans)
« Le capitaine, l’homme sage, avec lequel on a envie de passer du temps. C’est un soutien pour les jeunes. Et le couteau suisse de l’équipe. »

Alexis Ajinça (25 ans)
« Il a fait un bon championnat d’Europe. Sa marge de progression est encore importante. Il est revenu de loin. La Lituanie sera un test pour lui parce qu’il aura des buildings aussi grands que lui en face. »

Mickaël Gelabale (30 ans)
« La coolitude incarnée. Docteur cool ! Un shooteur au large efficace, un rebondeur avéré. Quand il met dedans, l’équipe de France est un ton au-dessus. »

Vincent Collet (sélectionneur)
« Il a su mettre l’aspect technique en perspective avec l’aspect humain et avec discipline. Gérer des garçons comme Tony, Nico, des joueurs qui ont déjà un niveau et une vision, ce n’est pas facile. Vincent est un technicien hors pair. Il est en train de montrer qu’il prend les bonnes décisions. Il vient quand même ‘‘d’outcoacher’’ les entraîneurs de la Slovénie et de l’Espagne. C’est pas mal ! »

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