Prud’homme : « Une étape construite pour ça »

« Je suis content de voir le parcours tracé être utilisé parce que cette troisième étape été construite avec 60 km dans la Camargue, avec du vent et des changements de direction, pour qu’il y a de la bagarre. La logique voulait qu’il y ait des bordures et j’étais presque déçu que ce ne soit pas le cas à 40 km de l’arrivée. Et puis boom, un virage, le vent qui change et une formidable bagarre, comme j’en voyais gamin quand je suis tombé amoureux du Tour de France. En ce qui concerne Cavendish (vainqueur de la troisième étape), je pense qu’on va en prendre pour quelques années. C’est un phénomène du sprint, emmené par une équipe extrêmement soudé et qui a montré aujourd’hui une science consommée du vent. »