Tous derrière les Bleus !

Didier Deschamps et ses hommes - -
Ils ne sont pas encore au Brésil. Toujours est-il que les coéquipiers d’Hugo Lloris pourront compter sur le soutien de nombreux sportifs. « Je fais partie de ceux qui pensent que la France sera au Brésil. Il faut être derrière cette équipe. Il faut oublier les querelles et se tourner vers l’avenir. Il y a de la qualité dans cette équipe. Je suis persuadé qu’ils vont y arriver », assure ainsi Hervé Renard, l’entraîneur de Sochaux. C’est ce lundi, à partir de 11h30, que les hommes de Didier Deschamps se retrouvent à Clairefontaine. Objectif : éliminer l’Ukraine et s’envoler pour le Brésil.
« On suit ça. C’est l’équipe de France, on a envie de les voir à Rio, de les supporter, explique le rugbyman Yoann Huget. Ils nous ont montré de belles choses durant les matches précédents. On a envie de les voir évoluer eux-aussi au plus haut niveau avec les joueurs que comporte cette équipe. Si on peut se déplacer au Brésil pour les supporter, ce sera pas mal. » Décollage jeudi pour les Bleus. Première manche vendredi à Kiev, avant de recevoir les Ukrainiens mardi prochain au Stade de France.
Asloum : « Cette équipe s'est remise en cause »
Et peu importe s’ils ont commis des dérapages par le passé. Nombreux sont ceux à penser qu’il faut mettre ça de côté et avancer. « Je suis à fond derrière eux. C’est la France. J’ai envie de les voir à la Coupe du monde. Je fais partie des gens qui les défendent un peu », avance la judokate Lucie Décosse. « J’ai toujours été derrière cette équipe, continue l’ancien boxeur Brahim Asloum. Elle nous a certes déçus, mais elle s’est remise en cause. Les joueurs sont beaucoup plus impliqués. Je pense que ce que fait Deschamps porte ses fruits au fur et à mesure de chaque sortie. »
Ancien international, Grégory Coupet croit lui aussi aux chances des Bleus. « Didier Deschamps est dans cette volonté de créer un état d’esprit dans ce groupe. Il y a certainement aussi une volonté de créer l’union sacrée, le fait que le groupe se referme complètement sur lui-même, qu’il fasse abstraction du monde extérieur et qu’on ne pense qu’à l’objectif sportif. » L’union sacrée… Et si le chemin vers le Brésil passait par cette volonté commune ?
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