Huis clos partiel pour Paris, avec sursis pour l'OM

Condamné à un match à huis clos ferme en première instance pour des incidents lors de PSG-OM (utilisation de fumigènes, déploiement de banderoles et interruption de la partie suite à l’irruption sur la pelouse d'un supporter), le club de la capitale a vu sa sanction « réduite » à la fermeture des tribunes Auteuil et Boulogne. Paris, dont l’amende de 35 000 euros a été supprimée, peut désormais demander une conciliation au Comité national olympique et sportif français (CNOSF) avant de se tourner vers le tribunal administratif. De son côté, l’OM a vu sa condamnation à un match à huis clos ferme pour « usage d'engins pyrotechniques » lors du match Lyon-OM du 18 décembre, commuée en match à huis clos avec sursis.