Nicollin prend deux mois ferme

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Après la défaite de Montpellier à Auxerre (1-2) le 31 octobre dernier, le président héraultais Louis Nicollin avait traité Benoît Pedretti de « petite tarlouze » et avait menacé de « s’occuper de lui » au match retour. Des propos qui lui ont valu deux mois de suspension toute fonction officielle de la part du Conseil national de l'éthique (CNE). Cette sanction, assortie de deux mois supplémentaires avec sursis, s’accompagne d’une interdiction de banc de touche et de vestiaires d'arbitres.
Egalement auditionné ce lundi pour avoir qualifié Bruno Coué d’ « un des plus mauvais arbitres de L1 » après son exclusion lors de Grenoble-Lille ((0-2), le défenseur grenoblois David Jemmali a écopé d’un match de suspension avec sursis pour des propos jugés « excessifs ».