Pas de décrassages, absences répétées… : dans "Le Vestiaire", Di Meco et Rothen racontent les chouchous Papin et Giuly

Des privilégiés. Dans "Le Vestiaire" ce vendredi sur SFR Sport 1, Eric Di Meco et Jérôme Rothen ont raconté les statuts particuliers dont bénéficiaient Jean-Pierre Papin et Ludovic Giuly à l’OM et à Monaco. Ils étaient les chouchous, certes, mais le méritaient par leurs performances. "JPP, c’était le fils du boss (Bernard Tapie), explique Eric Di Meco. Mais c’était accepté. Il ne faisait jamais les décrassages. Il avait perdu quatre fois sa grand-mère et huit fois son grand-père dans la saison. Au bout de quatre saisons, quand on a compté, on s’est dit que ça faisait beaucoup. Mais on s’en foutait parce qu’il nous faisait gagner tous les matchs."

"Ludo ne faisait jamais les décrassages, poursuit Jérôme Rothen. Les séances de veille de match, c’était son frère. Et encore, je suis gentil. Pour le réveil musculaire, il était en survet’, il avait le téléphone et nous chambrait. Mais c’était accepté."

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