PSG: "Imaginer qu'on sera les premiers à marquer l'histoire", l'ambition Ligue des champions de Luis Enrique après sa prolongation

Luis Enrique est à l’image du football que produit son équipe ces dernières semaines, rayonnant. Le visage de l’entraîneur du Paris Saint-Germain n’a jamais semblé aussi lumineux qu’en cette période faste pour le PSG, comme les intentions de son équipe, irrésistible sur le terrain.
Luis Enrique s'est demandé vendredi "pourquoi se mettre des limites quand tout se passe bien dans un club", après l'officialisation de prolongation jusqu'en 2027 et la nouvelle victoire (4-1) face à Monaco. Architecte d’un projet qu’il a eu tout le loisir de créer, modeler, façonner à son image, depuis son arrivée à Paris à l'été 2023, Luis Enrique se verrait bien devenir l’entraîneur le plus capé de ce PSG version QSI.
"On verra si on y arrivera"
"Qui sait ? Quand on se sent bien, qu’on a la confiance, pourquoi poser des dates et une limite? Mes prédécesseurs ont presque tous achevé leurs contrats ici. J’avais regardé ça avant de venir ici", a-t-il confié en conférence de presse.
Sa prolongation jusqu’en 2027? "Elle ne peut être que positive", a déclaré l’entraîneur. "On est arrivé ici il y a un an et demi et depuis le premier jour, on a senti toute la confiance du club et tous les moyens qui sont mis à notre disposition. Pour moi, en tant qu'entraîneur, ça me donne envie de travailler encore pour s'améliorer et imaginer qu'on sera les premiers à marquer l'histoire. C'est mon objectif et celui de mon staff. On verra si on y arrivera."
Avant de retrouver Brest en barrages de la Ligue des champions la semaine prochaine, le coach du Paris Saint-Germain a estimé que le match face à Monaco n’était "pas le plus abouti de la saison". "Je n'ai pas aimé les dix dernières minutes", a réagi Luis Enrique. "Cela a été un match difficile, comme tout le temps face à Monaco. Mais on méritait de l'emporter", a-t-il tout de même relevé. "La première mi-temps, il fallait changer de position pour améliorer quelque chose. En deuxième, on a plus attaquer, mieux dans les espaces", a-t-il expliqué.