PSG-Lyon : les notes

PSG-OL : Les notes - -
PSG
Sirigu : 5,5
Van der Wiel : 6
Alex : 6
Thiago Silva : 7
Maxwell : 6
Thiago Motta : 6 (Matuidi, 5,5)
Verratti : 7,5
Pastore : 5,5
Lucas : 6
Ibrahimovic : 7
Cavani : 7,5
A l’heure d’attaquer son marathon de décembre, Paris s’est présenté contre Lyon dans son habituel et efficace 4-3-3, avec une seule rotation : la titularisation de Javier Pastore au milieu de terrain à la place de Blaise Matuidi. Une première depuis le mois de novembre, ni spectaculaire ni infâmante de la part de l’Argentin, auteur d’une bonne copie mais sans l’éclat attendu. Le show, ce sont les deux monstres d’attaquants que possède le PSG devant qui s’en sont chargé. Une tête de Cavani (36e), une panenka d’Ibrahimovic (41e). Un corner, un penalty : le label « coups de pied arrêtés » de Laurent Blanc a encore frappé, confirmé un peu plus tard par une volée de Thiago Silva sur… corner (60e). Et un nouveau penalty, cette fois en force, d’Ibrahimovic. Dominants dans le jeu, techniquement trop forts pour des Lyonnais très vite rentrés dans le rang après la première demi-heure – à l’image d’un Marco Verratti tout simplement énorme -, les Parisiens ont encore une fois affiché leur supériorité en Ligue 1.
Lyon
Vercoutre : 4
Lopes : 3
Koné : 5
Bisevac : 4,5
Umtiti : 4
Bedimo : 4,5
Fofana : 4
Gonalons : 4
Grenier : 3
Gourcuff : 5
Lacazette : 4,5
Aligné finalement en 5-3-2 au lieu du 4-4-2 souhaité par Rémi Garde, en raison du forfait de dernière minute de Gomis, l’OL avait l’ambition de contrecarrer le milieu de terrain parisien. Pari totalement manqué puisque ni Gonalons ni Fofana n’ont réussi à perturber la domination insolente du PSG (62% de possession de balle). Le manque de percussion sur les ailes s’est notamment fait grandement sentir. Devant, Grenier s’est montré transparent, tout comme Lacazette, lequel a tout de même raté l’occasion la plus franche côté rhodanien en frappant sur la barre à la demi-heure de jeu. Seul Gourcuff a tenu son rang, essayant tant bien que mal de mettre du rythme. Derrière, Koné et Bedimo ont retardé l’échéance avant, eux aussi, de sombrer progressivement. Symbole de l’impuissance des Gones, Rémy Vercoutre, fautif sur le premier penalty concédé mais dédouané de toutes responsabilités sur les trois autres.
Lire aussi :
>> En images : Les PSG-OL d'hier
>> Le PSG marche sur Lyon
>> PSG-Lyon : Encore un choc ?