Debuchy rejoint Arsenal

Arsenal a officialisé ce jeudi le transfert de Mathieu Debuchy, en provenance de Newcastle (15 millions d’euros). L’international français va prendre la succession de Bacary Sagna (Man City) sur le côté droit de la défense des Gunners.

Un Français après l’autre. Le poste d’arrière droit d’Arsenal a été occupé par Bacary Sagna de 2007 à 2014. Il le sera désormais par Mathieu Debuchy, qui fêtera ses 29 ans dans quelques jours. L’ancien Lillois quitte Newcastle, qui récupère 15 millions d’euros dans l’affaire selon les médias anglais, et succède donc à son coéquipier en équipe de France lors de la Coupe du monde, qui s’est engagé mi-juin avec Manchester City à la fin de son contrat avec les Gunners. La durée de l’engagement de Mathieu Debuchy n’a pas été révélée officiellement.

« Je suis très fier de rejoindre un grand club comme Arsenal et de porter ses couleurs, confie l’ancien Magpie. C’est l’un des plus grands clubs du monde. Je suis impatient de travailler avec Arsène Wenger et d’aider l’équipe déjà construite après la victoire en FA Cup la saison dernière. Rejouer en Ligue des champions est très excitant pour moi et je vais faire de mon mieux pour aider Arsenal à viser des titres. »

Déjà 53 M€ dépensés par Arsenal

« Nous sommes ravis d’accueillir Mathieu Debuchy à Arsenal, indique pour sa part Arsène Wenger. Il a montré qu’il pouvait être performant au plus haut niveau, que ce soit avec ses clubs ou l’équipe de France (25 sélections). C’est un défenseur de qualité qui a une bonne expérience de la Premier League et je suis confiant sur le fait qu’il s’adaptera très bien avec nous. »

Le Français est la deuxième recrue d’Arsenal, après l’attaquant chilien Alexis Sanchez (38 M€). Arsène Wenger a donc déjà dépensé environ 53 M€ cet été. Et Sami Khedira (Real Madrid), champion du monde avec l’Allemagne, pourrait suivre. A Newcastle, c’est le Néerlandais Daryl Janmaat (24 ans) qui sera chargé de remplacer Mathieu Debuchy. Les Magpies ont versé environ 6,3 M€ pour l’arracher au Feyenoord Rotterdam.

La rédaction