Diniz : « Je me sens bien »

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Yohann Diniz, où en êtes-vous physiquement ?
Je pense que j’arrive en forme. Il n’y a plus qu’à affûter la machine. Il faut procéder aux derniers petits réglages et maintenir ce pic de forme jusqu’au 22 août. Il n’y a pas plus de pression que ça. De toute façon, si je me prépare le mieux possible et si je suis serein le plus longtemps possible, je devrais me donner les moyens de faire une performance sur cette compétition.
Le champion du monde, Nathan Deaks, ne sera pas présent à Pékin…
C’est une déception pour moi de ne pas l’affronter parce que je pense avoir largement les cordes à mon arc pour lui répondre et pour le battre. Maintenant, il y a d’autres adversaires. Certes, il y en a un en moins pour le podium. Du coup, il y en aura un qui sautera forcément. Je vais faire en sorte d’être intégré à ce groupe et d’être sur ce podium.