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A la rencontre d'Anthony Crastus

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D'un naturel calme, posé et détendu, Anthony Crastus inspire la sérénité. A 26 ans, il évolue dans le TOP 15 des jockeys français et espère bien conclure sa saison 2011 dans les 10 premiers du classement de Casaq Ligue. Cela fait déjà dix ans que ce supporter du Paris Saint-Germain et amateur de squash monte en course. Après son apprentissage chez Alain Lyon à Maisons-Laffitte, Anthony a cotoyé les écuries de Robert Collet, d'Antonio Spanu, de Myriam Bollack-Badel ( chez qui il a beaucoup appris), Philippe Demercastel (qui lui a fait confiance) avant d'intégrer l'équipe de Elie Lellouche. Il est aujourd'hui jockey free-lance. Rencontre.

D'un naturel calme, posé et détendu, Anthony Crastus inspire la sérénité. A 26 ans, il évolue dans le TOP 15 des jockeys français et espère bien conclure sa saison 2011 dans les 10 premiers du classement de Casaq Ligue. Cela fait déjà dix ans que ce supporter du Paris Saint-Germain et amateur de squash monte en course. Après son apprentissage chez Alain Lyon à Maisons-Laffitte, Anthony a cotoyé les écuries de Robert Collet, d'Antonio Spanu, de Myriam Bollack-Badel ( chez qui il a beaucoup appris), Philippe Demercastel (qui lui a fait confiance) avant d'intégrer l'équipe de Elie Lellouche. Il est aujourd'hui jockey free-lance. Rencontre.

Ce qu'il dit :

de son métier : " C'est faire le tour de France une bonne partie de l'année et le tour du monde l'hiver en allant à la rencontre de cultures et de personnalités différentes. C'est extrêmement enrichissant et une grande chance de pouvoir vivre sa passion de la sorte. C'est un beau métier que celui de jockey. Je ne changerais rien d'autant qu'il y a aussi et surtout cet esprit de compétition tous les jours. "

de sa plus belle victoire : (il hésite longuement) " C'est vraiment difficile d'en dégager une. Si je devais dire le cheval qui m'a le plus impressionné, je dirais Planteur. J'ai tout de suite compris que j'avais à faire à un super cheval le première fois que je l'ai monté : il a vraiment quelque chose de plus. Vraiment, toutes les victoires sont belles. Cela dépend de la séquence dans laquelle on se situe : dans une mauvaise passe, une petite course est aussi importante qu'une grande course quand tout va bien."

de Casaq Ligue : " C'est un challenge motivant entre nous. Cela dit, il est difficile de contrer les trois ou quatre premiers du classement qui héritent souvent des meilleurs montes dans ce genre de courses. Ce sont selon moi les épreuves les plus compliquées à monter, de vraies courses de jockeys avec des pelotons touffus et parfois un manque de rythme. J'aimerais finir dans les dix premiers et vous pouvez me suivre ces prochaines semaines car j'ai de bonnes cartouches. "

photo : Scoopdyga

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