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A la rencontre de William Bigeon

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Chez les Bigeon, on a le cheval dans le sang. Plus qu’une simple famille, c’est une véritable dynastie qui domine le trot. Eleveur, propriétaire, entraîneur, de père en fils, le règne des Bigeon est loin d’être terminé, d’autant plus que la relève est là. William, le fils de Jean-Luc est une valeur montante, il fait partie de la nouvelle génération, celle qui a apporté un vent de fraîcheur et de nouveauté dans le monde du trot. Passé dans le rang des professionnels en 2008, trois ans après avoir ouvert son palmarès à Laval, le jeune driver de 26 ans a fait beaucoup de chemin depuis. Il compte désormais 168 victoires dont 4 Quinté+ et l’avenir lui appartient.

Chez les Bigeon, on a le cheval dans le sang. Plus qu’une simple famille, c’est une véritable dynastie qui domine le trot. Eleveur, propriétaire, entraîneur, de père en fils, le règne des Bigeon est loin d’être terminé, d’autant plus que la relève est là. William, le fils de Jean-Luc est une valeur montante, il fait partie de la nouvelle génération, celle qui a apporté un vent de fraîcheur et de nouveauté dans le monde du trot. Passé dans le rang des professionnels en 2008, trois ans après avoir ouvert son palmarès à Laval, le jeune driver de 26 ans a fait beaucoup de chemin depuis. Il compte désormais 168 victoires dont 4 Quinté+ et l’avenir lui appartient.

Ce qu’il dit…

… à propos de son parcours :

" Plus jeune, comme tous les garçons, je voulais devenir footballeur mais j’ai rapidement compris que cela serait impossible. Je me suis alors consacré à mon autre passion : les chevaux. Je suis né dans le milieu et dès l’âge de 4 ans, j’ai enfourché mon premier poney pour participer à des courses quelques années plus tard. A 13 ans, je suis passé à la taille supérieure en montant sur un cheval et en aidant régulièrement mon père à l’écurie. Pour autant, je n’ai pas fait le cursus scolaire habituel puisque je n’ai pas été à l’AFASEC, j’ai passé un BAC général. C’est seulement après avoir fini mes études que je me suis pleinement lancé dans le métier en réalisant deux stages à l’étranger : le premier en Suède chez Erik Adielsson et le second chez Jerry Riordan en Italie. La suite vous la connaissez, je suis entré au service de mon père pour qui je travaille depuis plusieurs années. "

… à propos de sa plus belle victoire :

" Trois victoires m’ont particulièrement touché. Je pense notamment à mon succès dans un Quinté+ avec Rock Barbés pour mon grand-père André-Francis, ou encore à mon premier semi-classique avec Torino d’Auvilliers dans le Prix Emmanuel Margouty en 2009. Néanmoins ma plus belle victoire est et restera mon premier Groupe I : le Grand Critérium de Vitesse de la Côte d’Azur 2012. Une course folle dans laquelle nous nous étions imposés avec Santa Rosa France, à l’issue d’une fin de course étourdissante."

… à propos de la Casaq Ligue :

" Je n’ai malheureusement pas la chance de jouer les premiers rôles dans ce tournoi de la Casaq Ligue car je drive trop peu de chevaux de Quinté+. Je regarde donc les autres drivers se battre pour le titre. Ce challenge demeure très intéressant puisqu’il fait de la publicité pour le trot. Il rajoute du piment et de l’impact sur les courses supports d’évènements. "

photo : APRH

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