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La bonne fortune de Jos Verbeeck

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En s'imposant avec Pomerol de Laumac alors qu'il se serait contenté de la deuxième place si Quinoa du Gers (Matthieu Abrivard) ne s'était montré fautif à quelques mètres du poteau, Jos Verbeeck a été plutôt chanceux ce samedi à Vincennes. Eric Raffin (Profile de Rossi) conclut deuxième devant Franck Nivard (Oracle), Tony Le Beller (Cecena As) et Francesco Facci (Lover Power).

En s'imposant avec Pomerol de Laumac alors qu'il se serait contenté de la deuxième place si Quinoa du Gers (Matthieu Abrivard) ne s'était montré fautif à quelques mètres du poteau, Jos Verbeeck a été plutôt chanceux ce samedi à Vincennes. Eric Raffin (Profile de Rossi) conclut deuxième devant Franck Nivard (Oracle), Tony Le Beller (Cecena As) et Francesco Facci (Lover Power).

Jos Verbeeck avec un brin de chance

Jos Verbeeck est un pilote d'expérience et quand on lui demande de réagir à son succès du jour avec Pomerol de Laumac, il sait qu'il le doit à la faute de Quinoa du Gers (Matthieu Abrivard) dans les derniers mètres de course, mais pas seulement : " Il faut saluer le travail réalisé par son entraîneur, car, pour parvenir aujourd'hui à gagner, il fallait vraiment un grand Pomerol. Je ne lui ai pas donné le meilleur des parcours, évoluant en épaisseur de très bons chevaux. Et pourtant, il est allé au bout. C'est vraiment très bien." Si Jos Verbeeck a le sourire, Matthieu Abrivard est lui dépité : le succès lui tendait les bras mais tout s'est envolé en quelques secondes et il sera très difficile pour l'ex-leader du classement général de la Casaq Ligue d'accrocher un podium.

Eric Raffin donne la bonne course

Il ne boude pas non plus son plaisir de prendre finalement la deuxième place avec Profile de Rossi. Eric Raffin sait que le résultat est extrêmement positif : "J'ai décidé de venir aux avants-postes car on n'allait pas vite au début. En prenant une bonne place, j'ai pu aller très loin." Grâce à cette 2ème place, Eric Raffin reprend ses distances sur Jean-Michel Bazire, disqualifié aujourd'hui.

Franck Nivard après s'être montré très patient

Parti de la seconde ligne avec le numéro tout en dehors de la deuxième ligne, Franck Nivard a dû composer avec Oracle le plus longtemps possible avant de passer à l'attaque : "Je n'avais pas trop de marge et il n'était pas donc question de faire le fort. J'ai longtemps suivi Jean-Etienne Dubois (Rambo Jet) avant de demander à mon cheval d'accélérer. C'est un très bon résultat." Autre malchanceux du jour : Jean-Etienne Dubois (Rambo Jet) disqualifié de la 3ème place après enquête.

photo : APRH

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