Saturday Castres Fever !

Les joueurs du CO ont fêté jusqu'au petit matin leur sacre national dans la Capitale. Après une nuit blanche, les héros sont de retour à Castres ce dimanche. Les célébrations sont donc loin d’être terminées.

Vingt ans d’attente, ça se fête ! Vainqueur de Toulon (19-14) en finale du Top 14 au Stade de France, le CO a fêté comme il se doit le quatrième titre de son histoire. Après leur triomphe à Saint-Denis, les Castrais sont arrivés en ordre dispersé du côté de leur hôtel, le Pullman Montparnasse. Les joueurs ont fait leur apparition aux alentours de 2h du matin, après avoir satisfait au contrôle antidopage, diligenté par l'AFLD. Sur l'air de « We are the champions », les Castrais, avec à leur tête Antonie Claassen, sont entrés avec le fameux Bouclier de Brennus. Sur la scène dressée pour l'occasion, ils ont été célébrés par environ 300 personnes, parmi lesquels l’ancien président, Pierre-Yves Revol (1989-2008). Puis, c'est Ibrahim Diarra, déchainé sur le dance floor, qui a assuré l'ambiance.

Ibrahim Diarra enflamme le dance floor !

Mais pressés de célébrer le titre avec leurs proches, les joueurs ont ensuite abandonné la scène pour passer du temps avec eux. Marc Andreu s'est fait prendre en photo avec le Bouclier. Séance photos aussi pour Talès et Cabannes, deux amis d'enfance, avec leurs copains de Mont-de-Marsan. A noter également la présence du duo d'entraîneurs, Laurent Labit et Laurent Travers. Les deux hommes ont posé en compagnie d'Alain Gaillard, le coach des champions de France 1993. Enfin, ce sont les femmes des joueurs qui ont fêté la victoire de leurs hommes. Parmi les personnalités réunies, à noter la présence de René Bouscatel, président de Toulouse.

Les Castrais ont fait la fête toute la nuit, trouvant l'énergie, au petit matin, pour entamer des splendides chenilles. Ils pourront recharger (un peu) les batteries dans l'avion (ou pas). Les nouveaux champions de France seront en effet de retour dans l'après-midi à Castres pour un accueil qui s’annonce tout simplement triomphal.

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