Bach : « Une atmosphère satisfaisante »

Depuis les deux attentats à la bombe survenus fin décembre à Volvograd (plus de 30 morts) commis par la rébellion islamiste nord-caucasienne, la tension est remontée d’un cran dans le périmètre olympique de Sotchi. Et les mesures de sécurité ont été renforcées. Des 40 000 soldats et policiers annoncés initialement, ils seraient 60 000 aujourd’hui, à battre le pavé devant les sites olympiques, les check-points, les intersections et autres commerces. Pour Thomas Bach, président du CIO, cela n’altèrera pas le climat de ces Jeux : « Nous devons dans tous les événements internationaux, vivre avec ces menaces. En 1972, j'étais à Munich et on nous avait emmenés dans les bus avec des militaires à l'intérieur pour nous protéger. Il y avait des hélicoptères. Nous vivions déjà avec ces menaces mais la sécurité était plus visible. Les athlètes trouvent que cette atmosphère est satisfaisante et je sais que cela transpirera à l'ensemble des participants et des spectateurs ».

FGi à Sotchi