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Pinturault : « Rien à voir avec Ushuaïa Nature »

Alexis Pinturault

Alexis Pinturault - -

Alexis Pinturault a évoqué sa préparation estivale à Ushuaïa, au sud de l’Argentine, dans l’Intégrale Sport sur RMC. Et le skieur français a dressé une carte postale très éloignée de l’ancienne émission présentée par Nicolas Hulot.

Ushuaïa, loin de la carte postale

« Ce n’est pas du tourisme, non, je vous invite d’ailleurs à aller regarder Ushuaïa. Ça n’a rien à voir avec l’émission Ushuaïa Nature que beaucoup de gens ont l’habitude d’assimiler. C’est vraiment un endroit assez pauvre, qui peut presque ressembler, dans certains quartiers, à des maisons qui sont faites en tôle. C’est aussi l’hiver, il fait froid, ça n’a rien avoir avec l’image qu’ont les gens d’Ushuaïa ! » « Ce n’est pas du tourisme, non, je vous invite d’ailleurs à aller regarder Ushuaïa. Ça n’a rien à voir avec l’émission Ushuaïa Nature que beaucoup de gens ont l’habitude d’assimiler. C’est vraiment un endroit assez pauvre, qui peut presque ressembler, dans certains quartiers, à des maisons qui sont faites en tôle. C’est aussi l’hiver, il fait froid, ça n’a rien avoir avec l’image qu’ont les gens d’Ushuaïa ! »

De la vitesse sur les pentes chiliennes

« Je reste un peu plus de deux semaines sur Ushuaïa. Derrière, j’enchaîne à La Parva (au Chili), où je vais aller avec l’équipe de descente pour faire un peu plus de vitesse. Grosso modo, je reste un mois dans l’hémisphère sud. On a une semaine de repos. On a un stage qui est éprouvant. Il y a aussi du décalage horaire. On a besoin de cette semaine pour récupérer et repartir sur un bon pied ». « Je reste un peu plus de deux semaines sur Ushuaïa. Derrière, j’enchaîne à La Parva (au Chili), où je vais aller avec l’équipe de descente pour faire un peu plus de vitesse. Grosso modo, je reste un mois dans l’hémisphère sud. On a une semaine de repos. On a un stage qui est éprouvant. Il y a aussi du décalage horaire. On a besoin de cette semaine pour récupérer et repartir sur un bon pied ».

Toute l'année en hiver

« C’est à peu près ça, oui. On a des périodes d’été mais qui sont relativement courtes. Au mois de juillet, on est dans le coin (en France). Même si on monte sur les glaciers à plusieurs occasions. Donc effectivement, c’est assez restreint… » « C’est à peu près ça, oui. On a des périodes d’été mais qui sont relativement courtes. Au mois de juillet, on est dans le coin (en France). Même si on monte sur les glaciers à plusieurs occasions. Donc effectivement, c’est assez restreint… »

Une polyvalence à peaufiner

« Il faut trouver le juste équilibre. Je veux continuer à m’entraîner autant en géant et en slalom. Mais à partir de l’année prochaine, je compte faire toutes les courses de super-G. C’est pour ça qu’il m’a semblé judicieux de faire légèrement plus de vitesse. Mais je n’ai pas non plus changé ma préparation, elle sera assez similaire avec ce que j’ai fait l’année dernière ». « Il faut trouver le juste équilibre. Je veux continuer à m’entraîner autant en géant et en slalom. Mais à partir de l’année prochaine, je compte faire toutes les courses de super-G. C’est pour ça qu’il m’a semblé judicieux de faire légèrement plus de vitesse. Mais je n’ai pas non plus changé ma préparation, elle sera assez similaire avec ce que j’ai fait l’année dernière ».

La rédaction