L'ATP se défend

« Le programme antidopage en tennis stipule, et cela a toujours été le cas, qu'il revient à un tribunal indépendant de décider si une violation aux règles antidopage a été commise. L'ATP a toujours respecté cette règle et aucun responsable de l'ATP n'a le pouvoir ni les moyens de décider de l'issue d'une affaire de dopage », a indiqué l'ATP dans un communiqué.
Dans un livre qui doit paraître le 9 novembre aux Etats-Unis sous le titre « Open : an autobiography », Andre Agassi admet avoir été contrôlé positif à la méthamphétamine, une drogue récréative dure, en 1997 et avoir menti à l'ATP pour éviter une suspension pour dopage. L'ATP avait alors décidé de classer le dossier.