
Open d'Australie: "Mon fils rêve de jouer pour le PSG", Azarenka se livre sur sa passion pour le club
Victoria Azarenka n'a jamais caché sa passion pour le football et le Paris Saint-Germain, mais l’ancienne n°1 mondiale affiche ostensiblement ses couleurs, celles du club de la capitale, désormais. La semaine dernière, déjà en Australie, la Biélorusse s’était présentée sur le court à Adélaïde avec le maillot des Rouge et Bleu, avant que l’arbitre de sa rencontre du 1er tour, Marija Cicak, ne lui demande de le retirer car nonconforme au règlement de la WTA sur les tenues vestimentaires.
Ce lundi, dans la foulée de son entrée en lice victorieuse (6-4, 7-6) contre Sofia Kenin à l’Open d’Australie, Azarenka s’est présentée en conférence de presse avec un maillot du PSG sur le dos. Quelque peu interloqués, les journalistes présents sur place n’ont pas manqué de l’interroger sur le sujet. Surprise, la double vainqueur de l’Open d’Australie (2013, 2014) a rappelé à nos confrères que son amour pour le club ne date pas d’hier, et qu’elle fréquente régulièrement le Parc des Princes depuis dix ans. Victoria Azarenka a assisté à de nombreux matches du club ces dernières années, à la fois en Ligue 1 et en Ligue des champions, et pas forcément les affiches les plus prestigieuses.
"Je suis insupportable"
"Tout le monde me pose cette question. Personne ne comprend que je les soutiens depuis 2012 et la signature de Beckham. Je suis une fan depuis longtemps et j'ai assisté à de nombreux matchs. Mon fils Leo est très intéressé par le football maintenant. J'appelle ça du football, il appelle ça soccer, on a ce débat." Forcément, le petit Leo veut jouer au Paris Saint-Germain. "C'est son rêve, confirme Azarenka. C'est plutôt bien. Il me voit porter un maillot, il va porter un maillot, donc on est assorti."
Devenue une "Soccer mom", Victoria Azarenka a confié la joie que lui procurait le fait d’aller soutenir son fils en match: "J'adore ça, je suis insupportable, je crie, mais je suis très positive. Je suis en fait très fière parce que c'est une émotion complètement différente pour moi de soutenir mon fils. Je n'ai pas honte de crier pour lui, pas du tout. Je le soutiens beaucoup, je veux qu'il réussisse. Je veux qu'il réalise ses rêves et c'est toute une expérience pour moi d'aller à ses matchs."