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Roland-Garros : l’AFLD a assuré une vingtaine de contrôles supplémentaires

L’Agence française pour la lutte contre le dopage, sollicitée pour la première fois sur le tournoi de Roland-Garros, a mené des prélèvements urinaires inopinés auprès des joueurs.

Vingt. C’est peu ou prou le bilan chiffré de la contribution de l’Agence française pour la lutte contre le dopage (AFLD) au dispositif déployé pendant la quinzaine du tournoi de Roland-Garros. L’Agence a mené des contrôles ciblés et inopinés, de type urinaire, matin et soir dans les hôtels des joueurs. L’AFLD donnait des instructions pour le lendemain à la Fédération internationale de tennis (ITF), qui relayait aux médecins-préleveurs de la société suédoise IDTM, prestataire privé habituel de l’ITF. Les prélèvements seront analysés à Montréal, dans un des trente-quatre laboratoires accrédités par l’Agence mondiale antidopage (AMA). C'est la première année que l'ITF autorise l'AFLD, opérationnelle depuis le mois d'octobre 2006, à intervenir sur le tournoi qui se déroule Porte d'Auteuil.

La rédaction - L.C.