Parmentier est amère

Pauline Parmentier - -
Les Wimbledon se suivent et ne ressemblent pas pour Pauline Parmentier, 70e mondiale. En 2011, elle avait sorti Sorana Cirstea au premier tour. Cette année, la Roumaine a pris sa revanche (6-4, 6-1). Mais la pilule la plus dure à avaler pour la Nordiste concerne les Jeux Olympiques, qui lui ont filé sous le nez dans la dernière ligne droite. « De toute façon, j’ai zéro info. Personne ne m’a prévenu que c’était Alizé Cornet qui pourrait prétendre à la wild-card, nous a-t-elle déclaré. Attention, je n’ai rien contre Alizé. Elle est partie de très loin et j’ai eu la malchance qu’elle me précède une seule semaine au classement et c’était la ‘bonne’ (le cut a été établi au 11 juin, ndlr). Mais la manière dont a procédé la Fédération vis-à-vis de moi est très limite.»