Bourdais avait assuré ses arrières

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Mis en concurrence face à Takuma Sato pour le second baquet de l’équipe Italienne, le Français, managé par Nicolas Todt, ne pouvait se permettre d’attendre les bras croisés qu’une solution n’émerge. Cependant, Franz Tost, le directeur de l’écurie, a évoqué l’existence d’un « accord » verbal garantissant au pilote français une seconde saison en F1 dans l’équipe, en dépit du fait qu’il a fallu attendre le mois de janvier pour que Bourdais puisse dormir sur ses deux oreilles et connaître la nature de son programme 2009.
L’incertitude de Bourdais concernant ses chances en F1 l’ont ainsi poussé à reprendre des contacts avec les USA, d’où il arrivait, couronné de quatre titres ChampCar. « Oui, bien entendu, c’était une alternative », a expliqué le Manceau. « Je suis un pilote professionnel et la pire des choses qui pouvait m’arriver était de ne pas avoir de siège dans lequel piloter. De ce fait, j’ai examiné plusieurs choses, et retourner aux Etats-Unis était l’une d’entre elles. »