
Guimard : « On ne va pas donner à Cavendish le Bon Dieu sans confession »

Cyrille Guimard - -
« La pression, il l'a depuis le début de l’année. Au sein même de sa propre formation, il avait Greipel qui tournait fort et mieux que lui. Avait-il pris la grosse tête ? Il y a eu des accrochages avec Greipel, comme il n’avait pas les jambes, il fait quelques mauvais gestes avec la presse et envoie tout le monde par terre en Suisse. Même s’il a une carapace, il a sa sensibilité. Jusqu’à aujourd’hui, il ne faisait pas passer d’émotion. Mais attention, ce n’est pas parce qu’il a pleuré aujourd’hui qu’on va lui mettre une auréole et lui donner le Bon Dieu sans confession. Il parle mal au peloton comme à ses coéquipiers. C’est un homme comme un autre. »