La sanction est tombée pour l'OGC Nice après les chants homophobes face au Paris FC

Le match de Ligue 1 entre Nice et le Paris FC (1-1), le 28 septembre, avait été momentanément interrompu par l'arbitre en raison de l'insistance de chants insultants à caractère homophobe lancés par la tribune Populaire Sud de Nice.

La rencontre entre l’OGC Nice et le Paris FC (1-1), comptant pour la sixième journée de Ligue 1, avait failli ne pas aller à son terme, le 28 septembre. Ce match de championnat avait été interrompu à deux reprises pour faire stopper des chants homophobes lancés par la tribune Populaire Sud, à l’Allianz Riviera.

A la 83e minute, l'arbitre Abdelatif Kherradji avait arrêté le jeu pour permettre au speaker de diffuser un message expliquant que la rencontre risquait d'être arrêtée définitivement si les chants continuaient. Le capitaine niçois Jonathan Clauss était notamment allé parler à la tribune d'où provenaient les chants.

Des "expressions orales constatées"

Pour ces faits, l'OGC Nice risquait une amende et/ou une fermeture (totale ou partielle) du virage concerné par les chants. Ce mercredi, le club a finalement été sanctionné par la commission de discipline de la LFP d’une fermeture pour un match avec sursis de la tribune Populaire Sud. Le club azuréen a été épinglé en raison du "comportement" de ses supporters et des "expressions orales constatées".

Actuels 12es de Ligue 1 avec huit points pris en sept journées, les hommes de Franck Haise recevront l'OL, le 18 octobre, à la sortie de la trêve internationale. Ils iront ensuite sur la pelouse du Celta Vigo en Ligue Europa, avant de défier coup sur coup le Stade Rennais, Lille et le PSG en championnat.

RR