Domenech : l'odeur du sang et la guillotine

Face au parterre de journalistes venus le questionner sur son avenir, le sélectionneur a préféré prendre la main d’entrée. « Il y a du monde aujourd'hui... L'odeur du sang vous intéresse... C'est du deuxième degré... Même pas... Heureusement que les lois d'exception et la guillotine n'existent plus, sinon certains parmi vous se feraient un malin plaisir de m'envoyer sur l'échafaud... Mais peut-être que j'aurais été mieux servi si j'avais tué quelqu'un... Je viens ici pour parler du match contre la Serbie mercredi (2e match de qualification pour le Mondial-2010 après l'Autriche), je ne répondrai pas aux questions sur mon sort ». De toute façon, selon certains, ce dernier (ndlr, son sort) devrait être tranché dans les prochaines heures.