L'énorme somme d'argent perdue par Dani Alves depuis qu'il est accusé de viol

Daniel Alves en plein tourmente. L’ancien arrière droit brésilien passé notamment par le Barça et le PSG est en prison près de Barcelone depuis le 20 janvier après des accusations de viol. Son avocat va présenter un recours devant le tribunal pour demander sa libération conditionnelle en promettant qu’il résidera dans la ville catalane dans l’attente de son procès. Mais les soucis de l’international brésilien sont aussi d’ordre financier. Car depuis qu’une jeune femme de 23 ans l’a accusé de l'avoir violée fin décembre dans les toilettes d'une discothèque de Barcelone, le Brésilien de 39 ans voit ses multiples contrats, avec son club et ses partenaires commerciaux, résiliés les uns après les autres.
Les Pumas réclament 4,5 millions d'euros
Sur le plan sportif, la formation de D1 mexicaine des Pumas UNAM a immédiatement rompu le deal avec sa star. En LigaMX, Alves avait un salaire mensuel avoisinant 300.000 euros. Le club mexicain va aussi faire jouer une clause qui stipule que le joueur doit être sanctionné pour sa participation à des affaires de dopage, "dans tout scandale rendu public" ou dans "tout acte qui est considéré comme un crime selon la législation du pays dans lequel il a eu lieu." La sanction financière est lourde. Très lourde : 4,5 millions d’euros.
Il a perdu au moins 30.000 euros avec ses sponsors
Ce n’est pas tout. Daniel Alves a déjà perdu beaucoup d'argent avec ses sponsors personels. Selon El Mundo, le Brésilien doit renoncer à une somme entre 30.000 et 50.000 euros de droits d’image après la rupture de plusieurs contrats. Dès le 23 janvier, la société de paris sportifs lxPartner a suspendu son partenariat avec celui qui était son ambassadeur. Deux jours après, même décision pour Ethika, une marque de vêtements. Enfin Adidas, sa principale ressource en matière de sponsoring, n’a pas renouvelé le contrat qui avait expiré le 18 janvier.