RMC Sport

Les tops et flops de Saint-Etienne - Bordeaux

Ricky Van Wolfswinkel

Ricky Van Wolfswinkel - AFP

Malgré une très bonne première demi-heure, Saint-Etienne a été tenu en échec par Bordeaux (1-1) en match de clôture de la 7e journée de Ligue 1. Deuxièmes ex-aequo, les deux équipes comptent deux points de retard sur l’OM.

Les tops

Van Wolfswinkel, 403 jours après

Il aura donc fallu attendre 403 jours pour voir l’attaquant néerlandais des Verts Ricky Van Wolfswinkel (25 ans) faire à nouveau trembler les filets. D’une superbe volée du plat du pied gauche après un excellent centre de Franck Tabanou, le Néerlandais concrétisait alors une nette domination stéphanoise. Il inscrivait donc son premier but en Ligue 1 (31e), sa dernière réalisation remontant au 17 août 2013. « Ricky », qui portait alors les couleurs de Norwich City, affrontait Everton.

Tiago Ilori, l’assurance girondine

Quand Ludovic Sané n’est pas là, la défense centrale girondine peut compter sur Tiago Ilori. Non seulement le jeune Portugais prêté par Liverpool (21 ans) a remis les Girondins sur de bons rails en égalisant de l’épaule neuf minutes après l’ouverture du score des Verts, mais il a aussi rassuré son équipe grâce à des interventions tranchantes.

Les flops

Carrasso laisse traîner les crampons

Peu inspiré sur ses nombreuses interventions, le gardien bordelais aurait pu aussi se passer d’un vilain geste sur le Néerlandais Ricky Van Wolfswinkel. On joue la 55e minute lorsqu’après un âpre duel entre les deux hommes, le gardien bordelais s’essuie discrètement mais volontairement les crampons sur le haut de la cuisse du Batave en se relevant avec le ballon. L’arbitre n’a rien vu mais Carrasso ne sort pas grandi de cet accrochage.

Ruffier-Sall, ça chauffe

L’égalisation des Girondins a provoqué une grosse prise de bec entre le gardien stéphanois Stéphane Ruffier et son défenseur Moustapha Bayal Sall. Le regard noir, l’international français a violement reproché à son équipier sa passivité sur le corner fatal aux Stéphanois. Il faudra l’intervention de Jérémy Clément pour calmer (un peu) son gardien, fou de rage.

la rédaction