Real Madrid : Six choses à savoir sur Keylor Navas

Keylor Navas - -
Le gardien le plus cher de l'histoire du Real
Et dire que Levante ne l’a payé que 200 000 euros en 2012, lorsqu’il évoluait encore en deuxième division espagnole à Albacete. Il arrive d’ailleurs dans la banlieue de Valence avec le statut de doublure. Ce n’est que lors du départ du gardien titulaire, Gustavo Munua, l’été suivant, qu’il découvre la Liga. Un an plus tard, le Costaricien signe au Real Madrid pour 10 millions d’euros. Un montant qui fait de lui le gardien le plus cher de l’histoire du club, loin devant César Sanchez en 1999 (6 millions d’euros) ou Diego Lopez il y a deux ans (3,5 millions d’euros).
Le rempart le plus solide d'Espagne
Et si le coût de la transaction est aussi élevé, c’est qu’il y a une bonne raison. Keylor Navas, 27 ans, n’a pas été élu meilleur gardien de Liga pour rien la saison passée. Ses statistiques parlent pour lui : 16 « clean sheet » (matchs sans prendre de but) et seulement 39 buts encaissés en 38 journées avec une équipe de second plan. Le tout en étant le portier qui a réalisé le plus de parades (160).
Une méthode d'entraînement spectaculaire
Dans la lignée des gardiens latino-américains, Navas possède un jeu dynamique et très spectaculaire. Dans une vidée postée il y a quelques semaines sur con compte Twitter, on peut le voir travailler à l’entraînement avec une méthode plutôt originale. Son préparateur, Luis Llopis, est à l’origine de cette préparation commando. Dans la lignée des gardiens latino-américains, Navas possède un jeu dynamique et très spectaculaire. Dans une vidée postée il y a quelques semaines sur con compte Twitter, on peut le voir travailler à l’entraînement avec une méthode plutôt originale. Son préparateur, Luis Llopis, est à l’origine de cette préparation commando.
Un croyant très investi
Le nouveau joueur du Real accorde une grande place à la religion dans son quotidien. La Bible est son livre de chevet. Chrétien évangélique, il s’investissait dans une association religieuse appelée « Nouvelle vie » à Valence qui vient en aide aux personnes défavorisées. Avant chaque match, il s’agenouille sur la pelouse, les bras en l’air, et récite quelques prières. Le nouveau joueur du Real accorde une grande place à la religion dans son quotidien. La Bible est son livre de chevet. Chrétien évangélique, il s’investissait dans une association religieuse appelée « Nouvelle vie » à Valence qui vient en aide aux personnes défavorisées. Avant chaque match, il s’agenouille sur la pelouse, les bras en l’air, et récite quelques prières.
Di Stéfano le voulait en 2013
L’une des figures emblématiques de la Casa Blanca, Alfredo Di Stéfano, avait flairé le bon coup avant tout le monde. En mars 2013, lors d’une interview accordée à Marca, l’ancien attaquant argentin fait part de son admiration pour le phénomène : « Keylor Navas de Levante me plait beaucoup. Ils devraient lui donner plus de temps de jeu », souffle-t-il, avant de souhaiter le voir évoluer sous les couleurs du Real Madrid. Le double Ballon d’Or 1957 et 1959, décédé le mois dernier à l’âge de 88 ans, n’en aura malheureusement pas l’occasion…
Le sixième gardien étranger de la maison blanche
En 112 ans, rarement la cage des Merengue n’a été gardée par un étranger. Historiquement, ce sont surtout des Espagnols qui ont ce privilège. Navas fait donc parties des rares exceptions. Avant lui, seuls cinq hommes nés hors d’Espagne ont enfilé les gants à Bernabeu : le Hongrois Jyula Kisze (1933-1935), les Argentins Rogelio Antonio Domínguez (1957-1962) et Albano Bizarri (1999-2000), l’Allemand Bodo Illgner llegó (1996) et le Polonais Jerzy Dudek (2007-2011). En 112 ans, rarement la cage des Merengue n’a été gardée par un étranger. Historiquement, ce sont surtout des Espagnols qui ont ce privilège. Navas fait donc parties des rares exceptions. Avant lui, seuls cinq hommes nés hors d’Espagne ont enfilé les gants à Bernabeu : le Hongrois Jyula Kisze (1933-1935), les Argentins Rogelio Antonio Domínguez (1957-1962) et Albano Bizarri (1999-2000), l’Allemand Bodo Illgner llegó (1996) et le Polonais Jerzy Dudek (2007-2011).
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