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Blanc : « On ne doute pas »

Laurent Blanc

Laurent Blanc - Crédits photo : nom de l'auteur / SOURCE

Avant la réception de Valenciennes ce vendredi soir en match d’ouverture de la 25e journée de L1 et le déplacement à Leverkusen en 8e de finale de Ligue des champions, l’entraîneur du PSG ne croit pas à une mauvaise passe de son équipe.

Un coup de pompe ?

« Il n’y a pas de fatigue physique mais de la physique mentale. Cela reste de la fatigue quand même. Il faut retrouver de la fraîcheur. Je ne me plains pas. On joue tous les trois jours depuis le mois de janvier. On s’est préparé pour ça. Avant la Ligue des champions (mardi contre Leverkusen en 8e de finale aller), ce qui me préoccupe, c’est de préparer la meilleure équipe possible pour battre Valenciennes. »

Du turn-over contre Valenciennes ?

« Il y aura une équipe différente de celle qui a affronté Monaco (1-1). C’est le dernier match avant la Ligue des champions mais ce sont deux compétitions différentes. On a besoin de prendre ces trois points contre Valenciennes pour valider le nul à Monaco. On sera attentif à beaucoup de choses car il ne faut pas qu’il y ait un joueur blessé à quatre jours de la Ligue des champions. On va essayer de constituer une très belle équipe. »

Le contrecoup de la préparation ?

« On a pris cette option de retravailler, de refaire une petite préparation physique. Alors certes, ça a pesé un petit peu. Mais au mois de janvier, on ne s’en tire pas trop mal au niveau comptable. La manière a été un peu moins bonne, je suis d’accord. On a été moins efficaces mais j’ai eu la sensation qu’on dominait toujours nos adversaires. »

Une équipe qui doute ?

« Non, on ne doute pas. Il n’y a qu’à voir les résultats qu’on fait depuis le mois de janvier. On est conscient qu’on peut s’améliorer dans certains domaines. C’est une réalité. Mais être conscient qu’on peut s’améliorer ne veut pas dire qu’on doute. Même si on est moins bien offensivement, on marque toujours des buts. Le constat est simple, on marque un but et on n’en prend pas. On gagne un 1-0. Ça peut exister aussi ça. »

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Propos recueillis par Florent Ferraud