Cataldo : « On voit où sont les fauteurs de trouble »

« On a frappé un grand coup, car on savait que les Parisiens nous attendaient et que cela allait être un peu la guerre là-bas. On n’avait pas peur de ça, mais on savait que ça n’allait pas entre eux. Et là, ça a éclaté aux yeux de tous. On voit où sont les fauteurs de troubles. Il faut en tirer les leçons. Il y a une finale dans un mois (le 27 mars pour la finale de la Coupe de la Ligue contre Bordeaux) et les autorités devront tourner leur regard du bon côté. Dimanche on n’était pas là, mais dans un mois on sera vint-cinq mille. On est inquiet pour nous. On sera sur nos gardes. Les autorités auront aussi du souci à se faire. Maintenant, elles peuvent décider de jouer le match ailleurs qu’à Paris, à Lyon par exemple ce serait mieux. Ou ailleurs, dans un autre stade : pourquoi pas à San Siro ?… Ce serait l’occasion d’aller dans un beau stade. (Sourire) »