Chamakh : « Blanc nous fait haïr la défaite »

« Le coach nous appris à haïr la défaite, c’est quelque chose qu’on a maintenant dans le sang. On a envie de tout gagner, même si on sait que ça peut s’arrêter dans une compétition. On donne tout, on rentre sur le terrain pour gagner. On essaie par moment d’y mettre la manière. Si on gagne un ou deux challenges, on sera content. Physiquement, plus on joue, mieux on est. On avait besoin de ces cinq ou six matches pour se mettre en route. On y va crescendo. Tout le monde sera frais début février, avec le turn over pratiqué par le coach. Quand on voit qu’on a un calendrier chargé qui nous attend, ça nous motive, ça veut dire qu’on est en course sur plusieurs tableaux. C’est une question de dynamique. »