Heureux qui comme Destot

« Je suis heureux oui mais pas surpris. J’y croyais depuis le démarrage. J’étais en liaison avec nos partenaires japonais d’Index qui sont propriétaires du club et évidemment avec la DNCG et la Ligue professionnelle de football. Mon problème a été d’essayer de rapprocher deux cultures différentes. Les Japonais ne comprenaient pas des règles qui leur semblaient ahurissantes comme le fait qu’un accord du président d’Index ne suffisait pas, qu’il fallait également que le conseil d’administration soit derrière lui. De l’autre côté, il y avait des suspicions… selon eux, les chèques pouvaient être des faux chèques et des banques de fausses banques. Il a fallu donc tenir bon, montrer qu’il y avait beaucoup trop d’arrière-pensées et rapprocher les points de vue ».