Le calendrier infernal de l’OM

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Une cinquième défaite consécutive qui alourdit le calendrier. Le paradoxe cultivé par l’OM mardi soir à San Siro, où il s’est incliné face à l’Inter Milan (1-2) mais s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions, a pour conséquence d’entraîner un certain embouteillage jusqu’au 14 avril. Ce jour-là, Didier Deschamps et ses joueurs viseront au Stade de France une troisième victoire consécutive en Coupe de la Ligue face à l’Olympique Lyonnais. Et fêteront la fin d’une série diabolique à l’importance cruciale. Au cours des quatre prochaines semaines, à compter de la réception de Dijon samedi au Stade Vélodrome (L1, 28e journée), les Marseillais disputeront huit rencontres à enjeu. A Caen, le 20 mars, ils joueront leur place en demi-finale de la Coupe de France face à Quevilly (16e de National). Puis ils iront à Nice le 24 mars pour un match toujours électrique entre voisins de la Méditerranée (L1, 29e journée). En quittant la Côte d’Azur, l’OM entamera sa virée en enfer. La réception de Montpellier (L1, 30e journée), le 31 mars, aura lieu entre le match aller des quarts de finale de la Ligue des champions (27-28 mars) et le match retour (3-4 avril), une possible double confrontation avec un cador du Vieux Continent (tirage au sort vendredi à Nyon, en Suisse, à 11h45). Les Marseillais auront à peine reposé les pieds sur terre qu’ils seront attendus au Parc des Princes par le Paris Saint-Germain le 7 avril (L1, 31e journée). Ils auront une semaine pour souffler avant la finale de la Coupe de la Ligue. Un luxe, au sortir d’une telle période…