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Le projet du YelloPark continue de diviser à Nantes

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Présenté il y a un peu plus d’un an, le projet du nouveau stade de Nantes a des partisans mais aussi de nombreux contestataires. Les deux camps exposent publiquement leurs arguments. Dans ce contexte tendu, la mairie a reporté le débat sur la vente du terrain de la Beaujoire.

Le FC Nantes a fait match nul avec Reims, ce dimanche, lors de la 5e journée de Ligue 1 (0-0). Un match sans grande saveur qui s’est déroulé dans un contexte assez tendu en Loire-Atlantique. En cause? Le projet de construction du nouveau stade des Canaris, baptisé "YelloPark". Un peu moins d’un an après sa présentation, ce dossier divise dans la région.

Une réunion sur les dangers juridiques du "YelloPark" a été organisée cette semaine par les opposants. Et ils sont nombreux, à commencer par l’association "A la nantaise", les supporters de la Brigade Loire, mais aussi des riverains, des commerçants et des associations écologiques s’interrogeant sur le bien-fondé de la destruction de La Beaujoire, l’enceinte mythique du FCN.

Le débat reporté de deux mois

Face à eux, les partisans du nouveau stade font également entendre leurs voix. Une conférence de presse s’est tenue avant Nantes-Reims en compagnie de plusieurs personnalités favorables au projet, comme Maxime Bossis, Patrice Rio ou Claude Simonet.

Dans cette ambiance électrique, Johanna Rolland, la mairie de Nantes, a annoncé sa décision de reporter le débat sur la vente du terrain de La Beaujoire au conseil métropolitain du 7 décembre, alors que le sujet devait être abordé le 5 octobre prochain.

AJ avec PYL